A propos de nous

 Les enfants en situation difficile 

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Pour la protection de l’enfance, l’Etat marocain a mis en place certaines dispositions afin de les protéger, contre toute carence, qu’elle soit d’origine familiale, sociétale, ou autre.  Bien que la prise en charge de ces enfants fasse l’objet de divers efforts, elle demeure encore incomplète et insuffisante. Il existe un problème de manque de données, de quantification du phénomène. L’urgence et la nécessité de la prise en charge et de l’assistance de ces enfants, abandonnés et/ou en grande difficulté, est essentielle.

La construction d’un orphelinat s’inscrit ainsi dans la continuité des efforts fournis à cet effet, afin de venir en aide à cette tranche de la population et œuvrer à l’amélioration du bien-être de nos enfants, leur assurer un développement et une croissance dans un milieu sain, et les préparer au monde de demain. Le projet d’orphelinat de notre association n’a pas pour seul objectif d’offrir un toit à ces enfants mais s’inscrit dans une prise en charge et une mise sous tutelle complète de l’enfant ; du droit à un logement décent à l’alimentation en passant par l’hygiène et l’accès à la santé afin de combler les besoins primaires et essentiels à tout développement physique sain ; du droit à l’éducation et de l’accès à un environnement social sain et stable pour subvenir aux besoins psychologiques.

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La pauvreté et la vulnérabilité

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Les efforts du Maroc dans l’élimination de la pauvreté et la réduction des inégalités – que ce soit à travers les initiatives du gouvernement ou l’action de diverses associations – sont évidents et effectifs mais il reste une partie de la population qui a besoin d’aide.

Les objectifs de Tigminr s’inscrivent ainsi dans la lignée de la promotion de la qualité de vie des plus démunis. Elle a pour objectif de compter parmi les différents acteurs et citoyens qui agissent à leurs échelles en subvenant aux besoins des personnes locales les plus défavorisées, en portant un accès particulier aux personnes isolées. En facilitant l’accès au crédit pour améliorer, voire créer, de petites exploitations, par exemple, cela permettrait d’éliminer ces obstacles liés aux services bancaires qui empêchent les pauvres d’être en mesure de faire appel aux banques et cela permettrait aussi d’améliorer leur capacité à gérer les risques et enfin de mettre en relation les petites exploitations agricoles ou autres avec les marchés et systèmes en lien.

L’entretien et l’activité de la Maison offre aussi des opportunités d’emplois décents dont cette partie de la population est la cible, ce qui permettra ainsi aux pauvres ruraux locaux de participer activement au processus de développement et d’en recueillir les bienfaits pour eux-mêmes et leurs familles respectives.

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L’économie, l’emploi et l’activité

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Le Maroc a réalisé d’importants progrès économiques ces dernières années : un niveau de pauvreté en baisse, une structure industrielle relativement diversifiée par rapport à de nombreux pays de la région, un coefficient de commerce intra-industriel favorable. Cependant, l’économie souffre encore de nombreux manquements tels que la faible création d’emplois, la croissance de la productivité, notamment dans le secteur agricole, reste réduite et le pays doit en sus faire désormais face aux chocs économiques de la pandémie.

 

Tigminr souhaite figurer parmi les acteurs qui participent au circuit économique du Royaume en investissant le terrain de l’économie sociale et solidaire. Pour se faire, l’association se donne pour mission la mise en œuvre d’un accompagnement favorisant le partage d’expérience et de bonnes pratiques en sus de la mise en place d’un système de microcrédit qui permettraient aux personnes désireuses de créer ou de développer leurs entreprises, d’accéder successivement à de petits emprunts adaptés à leur besoin et à leur capacité de remboursement.

De plus, Tigminr souhaite ouvrir l’accès à de nouveaux marchés aux artisans locaux en se dotant d’une plateforme relais de commercialisation des produits via son programme Galerie qui se compose d’une boutique de vente en ligne, référençant chaque créateur, son travail et ses produits.

Dans le même esprit d’une économie locale et solidaire, un programme de recensement sera mis au point avec pour objectif la création d’un catalogue, papier et numérique, des entreprises locales afin de répertorier tous les commerces des alentours et ainsi créer un réseau professionnel référent.

S’inscrivant dans une dynamique d’entraide et de relance de l’économie régionale, le projet mettra aussi l’accent sur l’apport local en matériaux et pour toute main d’œuvre salariale dans la réalisation de ses projets, ce qui permettra la prise en charge indirecte de plusieurs familles locales avec la création de postes à pourvoir dans la gestion du quotidien de la Maison.

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Le niveau et l’accès à la santé

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Les évolutions du Maroc en matière de santé ont donné des résultats efficients et la politique améliorative du gouvernement pour les prochaines années souligne les efforts déployés à cet effet. Le pays a en effet, lancé au premier semestre 2021 son programme historique et d’envergure de généralisation de la protection sociale qui promet ainsi un futur meilleur.

Tigminr souhaite participer à cette philosophie de l’accès aux soins pour tous, notamment des personnes les plus défavorisées telles que les enfants, les personnes pauvres, isolées ou encore les personnes âgées. Pour se faire, l’association prévoit des programmes directement liés à :

• l’accessibilité aux soins, en participant financièrement à la prise en charge de soins, de traitements médicaux/médicamenteux des personnes pauvres et vulnérables ou des transferts vers les structures sanitaires adéquates ; 

• la sensibilisation à la santé, en participant à la diffusion d’informations et de promotion de la santé afin de réduire les risques sanitaires en termes d’impacts ;

• et à l’accompagnement et au suivi médicaux, en assurant le suivi médical des enfants pris sous tutelle et en organisant des visites régulières chez les personnes dont un traitement a été pris en charge afin de veiller à la bonne prise des médications ;

mais aussi des programmes indirects avec :

• le programme d’aide alimentaire des personnes vulnérables, notamment des personnes âgées dont la prévention de la dénutrition, grâce à la promotion et la prise en charge d’une alimentation nutritive, sont des mesures réductrices de risques ;

• le programme d’accompagnement et de soutien à ces personnes âgées et isolées qui peuvent présenter des limitations d’activités en raison de problèmes de santé, de mobilité et dont l’aide et le soutien de autres s’avèrent déterminants pour amenuiser les conséquences sanitaires.

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L’éducation et la scolarité

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Bien que des progrès indéniables aient été accomplis en cette matière la dimension du risque de décrochage scolaire représente toujours un défi majeur à relever pour combattre l’exclusion scolaire. L’exclusion des enfants du système scolaire trouve ainsi ses causes dans une dynamique continue de la conjugaison des facteurs tant sociaux et économiques que structurels. Le progrès réalisé en termes d’accès à l’école fondamentale rend l’exclusion scolaire, dans le contexte marocain principalement liée au décrochage scolaire. Ce dernier étant particulièrement lié aux facteurs structurels systémiques et aux conditions économiques des enfants. L’échec scolaire et les disparités de niveau de vie en constituent les principaux traits. L’intégration des enfants dans le système scolaire connait une amélioration significative alors que l’achèvement des cycles obligatoires continue d’être affecté par une transition inter cycles difficile, en particulier en milieu rural. La pauvreté constitue le second facteur important de déscolarisation, exclusion scolaire et niveau de vie des ménages étant en corrélation. Le phénomène du travail des enfants qui touche essentiellement les couches les plus pauvres de la société marocaine constitue l’un des traits caractéristiques de cette relation entre la vulnérabilité économique et l’exclusion scolaire, en particulier en milieu rural.

Tigminr souhaite œuvrer dans la promotion de la pleine scolarité des enfants des milieux ruraux. Pour se faire, le projet de l’orphelinat permettra en soi, d’accueillir, de soutenir et d’accompagner plusieurs dizaines d’enfants issues de situations difficiles, dans leur scolarité. Afin de promouvoir le savoir et la connaissance, la Maison sera dotée d’une bibliothèque et des activités d’accompagnement à la scolarité ainsi que des animations autour de la science, ouverts à tous, auront régulièrement lieu tout au long de l’année.

En sus, avec ces autres programmes de solidarité avec les personnes pauvres, vulnérables et/ou isolées, l’association participera indirectement à la scolarisation des enfants issues des couches les plus pauvres de la société marocaine, qui sont alors concernés par le phénomène du travail des enfants, qui constitue l’un des traits caractéristiques de cette relation entre la vulnérabilité économique et l’exclusion scolaire, en particulier en milieu rural.

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Le patrimoine culturel

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Cependant, la gestion de cette ressource se trouve partagée, avec de nombreux autres acteurs publics et privés, ce qui entraîne des divergences en termes d’approche et de reconnaissance de sa valeur réelle. Le résultat est un patrimoine en situation insatisfaisante. Cette réalité se remarque avec beaucoup plus d’intensité au niveau des région avec notamment, l’introduction envahissante des modes de vie modernes qui affecte sérieusement l’originalité des paysages singuliers de la ruralité, qui tendent inévitablement à disparaître. La culture immatérielle, qui représente aussi la continuité de l’histoire dans laquelle s’épanouissent l’art, le social, le culturel et le spirituel reste toujours vivant mais elle tend à perdre de sa vivacité. Fragile et délicat, ce patrimoine immatériel se trouve constamment menacée de mutation, de déformation voire de disparition. Des phénomènes de la société moderne tels que la modernisation, l’émigration et l’urbanisation etc., sont à l’origine de cette déformation qui enlève leur valeur aux lieux, à l’habitat aux artefacts qui se trouvent souvent dans les sociétés d’aujourd’hui – s’ils n’ont pas déjà disparus ou ont été défigurés - complètement muséifiés.

Tigminr souhaite figurer parmi les acteurs qui participent à la sauvegarde de la mémoire et des traces du passé du patrimoine culturel marocain. Notre vision dans ce domaine privilégie la préservation, la réhabilitation, la promotion et la mise en valeur de toutes les facettes du patrimoine culturel national :

• du patrimoine dit culturel avec ses deux composantes : matérielle, constituée du patrimoine archéologique, architectural et mobilier – l’association construira et meublera ses bâtisses sus-citées suivant l’architecture typique de l’environnement dans lequel elle s’inscrit, à savoir une architecture de terre vernaculaire pour son extérieur et un panorama de l’artisanat marocain pour sa décoration intérieure ; et immatérielle qui sont les traditions et expressions orales, les pratiques sociales, les arts du spectacle, les savoir-faire liés à l’artisanat, etc. – l’association entend participer à la transmission des savoirs et savoir-faire marocains, et plus particulièrement berbères puisque c’est dans la région du Souss Massa que l’association a son siège et exercera ses activités ; notamment par le mode de vie de la Maison qui s’assimilera à celui de la population locale et leurs coutumes en travaillant la terre, en élevant des animaux ou encore en utilisant les techniques traditionnelles pour le quotidien ; de même, à travers ses programmes de communication extérieur via le woofing ou la gestion des outils d’informations afin de valoriser, sauvegarder et transmettre ces manières de faire et de vivre à la marocaine, à un public plus large.

• du patrimoine dit naturel constitué notamment des écosystèmes pour l’exemple. Tigminr fait de l’environnement et de sa préservation l’un de ses objectifs phares.

• du patrimoine dit culturel, cela concerne les paysages qui reflètent  une interaction entre l’homme et son environnement. Conformément à la définition du Centre du Patrimoine Mondial, « le paysage culturel est une forme exceptionnelle d’une interaction humaine avec son environnement et une occupation ancienne et inchangée d’un territoire bien délimité ». Cette interaction homme/environnement renvoie ainsi à des façons et des attitudes culturelles relatives à une parfaite adaptation au milieu naturel et la transformation de celui-ci en une ressource génératrice et durable. Le programme « Architecture et paysagisme », vu précédemment, renvoie à cela, au fait d’adopter un mode de vie local, dans le respect et l’harmonie avec la nature/l’environnement dans lequel il s’inscrit, afin qu’autant les patrimoines humain et naturel restent ainsi préservés et conservés.

 

L’environnement et l’écosystème

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Le Maroc est conscient de l’état de dégradation de ses ressources naturelles et a adopté une politique environnementale basée essentiellement sur le concept de développement durable.

Tigminr s’inscrit ainsi dans cette continuité et cette volonté de jouer un rôle dans la protection de l’environnement et le développement durable, à son échelle, au niveau local, en réalisant des projets de sensibilisation, de développement local et de préservation des ressources naturelles.

A ce sujet, l’association adoptera un mode de vie éco-responsable et éthique, de la gestion de l’association à tous les programmes, activités et animations mis en place, notamment à travers la Maison qui est le projet central et dont la manière de vivre sera écologique avec la mise en pratique d’astuces respectueuses de l’environnement telles que la construction des bâtisses suivant les principes de la bio-architecture, une consommation énergétique verte et minimal, d’origine solaire, la réduction et le recyclage des déchets, la récupération et le filtrage de l’eau de puits et pluviale, une éco-agriculture avec les techniques du compostage, du goutte à goutte, etc.

En outre, l’environnement local ne dispose pas de déchetterie ni d’un quelconque système de gestion des déchets, cela ayant pour conséquence une dégradation inexorable de l’environnement. La quasi-totalité des déchets sont toujours disposés dans des dépôts sauvages ou dans les ravins alentours où s’écoule l’eau de pluie et parfois les gens les brûlent, il en résulte ainsi une grave pollution des sols, des eaux et de l’environnement de manière plus générale. Le projet a aussi pour vocation la construction et la gestion d’une déchetterie qui permettra le dépôt sélectif des déchets des usagers, du nettoyage et de l’élimination. La mise en place de cette déchetterie permettra la limitation des dépôts sauvages en préservant l’environnement, économiser les matières premières en permettant leur recyclage, etc.

Au fil des années et avec, entre autres, le réchauffement climatique, la végétation s’est considérablement amoindrie. Or, la verdure s’accompagne d’une multitude de bienfaits, pour la faune et la flore, pour les populations, pour le développement durable et pour l’économie locale. En effet, les bénéfices du végétal sur l’humain ont été largement documentés par la littérature scientifique ; la verdure améliore l’état de santé et réduit la prévalence de nombreuses maladies, elle améliore la qualité de l’air, elle réduit le stress et entre autres encore, elle renforce le sentiment d’appartenance à la communauté. De même, la végétation assure une régulation naturelle des températures, contribue à assainir l’air, l’eau et les sols, favorise la biodiversité ainsi que l’écoulement naturel des eaux pluviales, etc.  Afin de contribuer au réaménagement des espaces verts de la localité, le programme « Une vie, un arbre » mis en œuvre consistera en la plantation d’un arbre par habitant par année. Le programme permettra ainsi : le reboisement des environs, la réhabilitation et la préservation de l’écosystème, la réduction des températures, la sensibilisation et l’éducation à l’environnement, en sus de favoriser l’implication de la communauté autour d’un projet multidisciplinaire et mobilisateur en environnement, etc.

Elle entend aussi participer à renforcer la résilience et les capacités d’adaptation et de réaction des communautés pauvres et vulnérables de ses alentours face aux changements climatiques du pays, tout en participant à la préservation de l’environnement. Pour se faire, comme nous l’évoquions précédemment, l’association se pourvoira en produits locaux, ces derniers ne transitant que sur quelques kilomètres tout au plus, contrairement aux produits d’importation qui, eux, parcourent de longues distances impliquant des transports en terme énergétique très lourd ainsi qu’énormément de pollution. De plus, pour pouvoir subir ces transports, les produits sont généralement suremballés afin d’être protégés. Ainsi, consommer local, c’est aussi participer à la réduction des déchets tels que les cartons et les plastiques en se fournissant à proximité de chez soi, en privilégiant ses propres sacs réutilisables ou paniers comme il est de coutume dans le pays.  Par ailleurs, consommer local c’est aussi aller à l’encontre des méthodes de cultures intensives qui ont des effets catastrophiques sur l’environnement, mettant gravement en danger la biodiversité puisque ces cultures utilisent un arrosage excessif alors que les ressources en eau sont limitées, ou une surconsommation d’électricité pour chauffer et/ou réfrigérer les productions. En effet, le Maroc a des volumes en eau limités, et avec le réchauffement climatique, les nappes s’assèchent et les précipitations ont fortement diminuées ces dernières années. Ainsi, les sources d’approvisionnement en eau de la Maison se feront exclusivement via les prélèvements en milieu naturel : forages, filtrage et récupérateur d’eau de pluie ; et le recyclage de l’eau usée afin d’éviter le gaspillage. De même, pour toute la production de nourriture ou le jardinage, la gestion de l’eau se fera suivant les techniques de l’agroécologie pour un usage durable des ressources en eau au champ, une meilleure gestion du système sol-eau-plante à travers un usage optimisé des sources d’eau : eau de pluie, d’irrigation ainsi que la réduction des pertes d’eau.

Concernant l’information et l’éducation, plusieurs initiatives sont en cours dans le domaine de l’accès aux informations sur l’environnement, mais aussi dans le domaine de l’éducation environnementale : la Constitution prévoit ainsi que les citoyens marocains aient accès à l’information environnementale détenue par l’administration publique. De même, une multitude d’activités pour promouvoir l’éducation environnementale et l’éducation pour le développement durable sont actuellement mises en œuvre au Maroc avec notamment, l’intégration de l’éducation environnementale dans les programmes scolaires. L’association souhaite participer au renforcement de l’écocitoyenneté et envisage de mettre en place des démarches de sensibilisation à l’environnement et d’appropriation des valeurs du développement durable à travers des animations et activités d’éducation, de sensibilisation et de communication à destination du grand public afin de promouvoir la protection de la biodiversité. Le projet vise ainsi à responsabiliser les habitants d’une région pour en faire les acteurs de la protection de la biodiversité en modifiant leurs habitudes et leurs comportements. En parallèle de l’apport de connaissances, le projet souhaite impliquer chaque citoyen en tant qu’acteur co-responsable de la préservation de la nature, notamment à travers son programme sus-cité de reboisement.